mai 19, 2024

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Pédophile, condamné à 400 ans de prison et libéré, de nouveau arrêté


Nikos Seiragakis, qui a été condamné à 401 ans de prison en 2011 pour comportement indécent envers 36 mineurs à Réthymnon, en Crète, et qui a été libéré après 12,5 ans, a de nouveau été arrêté aujourd’hui à Nea Ionia, selon les dernières informations.

La nouvelle arrestation de l’ancien entraîneur de basket-ball est intervenue après la décision pertinente du bureau du procureur de Nauplie, car, comme indiqué, « il avait un cas en suspens n ° 11 ».

Le 06/09/2023, un mandat d’arrêt a été délivré par le bureau d’appel du procureur de Nauplie. Le délinquant risque le maintien en détention conformément à l’ordonnance n° 110 123 124/2016, une décision prise par un jury de la Cour d’appel du Pirée

Seiragakis a été condamné à 401 ans de prison, qui lors de la fusion sont devenus 220 ans, alors qu’en réalité la peine a été réduite à 25 ans. Et enfin, avec le nouveau code pénal, 25 « s’est » transformé en 21 ! Le pédophile a été libéré (pour la deuxième fois), après avoir purgé 12,5 ans.

Nikos Seiragakis sera emmené au bureau du procureur général d’Athènes.

Comme Athens News l’a écrit précédemment, un entraîneur de basket-ball de Crète, condamné à 401 ans de prison pour 36 cas de comportement indécent contre des mineurs, a été libéré sur parole après avoir purgé un total de 12,5 ans derrière les barreaux. La décision, qui a provoqué l’indignation des victimes, de leurs familles et de toute la société grecque, a nécessité l’intervention du procureur général.

L’entraîneur de basket-ball Nikos Seiragakis aurait été arrêté en flagrant délit en décembre 2011 pour abus sexuels sur trois mineurs. En mai 2013, il a été condamné pour ses actes, mauvais traitements et tentatives de mauvais traitements, envers 36 enfants pour une peine de 401 ans (en fait, à perpétuité. Note éditoriale). En 2016, la Cour d’appel a confirmé la décision du tribunal de première instance, réduisant la peine à 220 ans. Avec le nouveau Code pénal, les années réelles d’emprisonnement ont été réduites à 20.

Parce qu’il travaillait dans une prison où les journées de travail réduisent les peines, Seiragakis a demandé une libération conditionnelle à la commission pénitentiaire de Tripoli où il était détenu. La demande a été examinée par le Crime Board et acceptée.

Après 12,5 ans de prison, il a été libéré sous la condition d’une interdiction d’entrée en Crète, où il a commis des crimes, et avec l’obligation de vivre dans la zone désignée de l’Attique. Il lui est également interdit d’interagir avec des mineurs sans la présence ou le consentement de leurs tuteurs et est tenu d’assister à des séances psychiatriques une fois par mois.

A noter qu’il y a 3 ans, en avril 2020, il a été libéré sur parole d’une prison à Grevenoù il a été détenu, ce qui a provoqué une vive réaction dans la communauté locale, ainsi qu’au sein de l’association du barreau de Réthymnon, qui a défendu les victimes de pédophilie en première et en deuxième instance.

Le violeur n’a jamais montré de remords et a affirmé que ses relations sexuelles avec les victimes âgées de 12 à 17 ans étaient avec leur consentement. Il aurait été libéré sur parole en 2020, mais a rapidement été de nouveau arrêté et envoyé en prison pour violation de la liberté conditionnelle. La libération de mardi a provoqué l’intervention d’un procureur de la Cour suprême, qui a exigé un réexamen pour voir si les conditions d’une libération anticipée étaient remplies. Le procureur en chef vérifiera avec quel soin la libération est justifiée et s’il existe des « lacunes » juridiques. Dans le même temps, il existe une option selon laquelle l’ordre de sortie peut être annulé, rapportent les médias locaux.

Le Code pénal prévoit que les années effectives d’exécution d’une peine dans les conditions ne peut excéder 20 ans et le condamné peut bénéficier de dispositions préférentielles et être libéré des lieux de privation de liberté en l’absence d’autres motifs disciplinaires et de responsabilité pénale.

L’entraîneur de basket-ball Nikos Seiragakis aurait été arrêté en flagrant délit en décembre 2011 pour abus sexuels sur trois mineurs. En mai 2013, il a été condamné pour ses actes, mauvais traitements et tentatives de mauvais traitements, envers 36 enfants pour une peine de 401 ans (en fait, à perpétuité. Note éditoriale). En 2016, la Cour d’appel a confirmé la décision du tribunal de première instance, réduisant la peine à 220 ans. Avec le nouveau Code pénal, les années réelles d’emprisonnement ont été réduites à 20.

Parce qu’il travaillait dans une prison où les journées de travail réduisent les peines, Seiragakis a demandé une libération conditionnelle à la commission pénitentiaire de Tripoli où il était détenu. La demande a été examinée par le Crime Board et acceptée.

Après 12,5 ans de prison, il a été libéré sous la condition d’une interdiction d’entrée en Crète, où il a commis des crimes, et avec l’obligation de vivre dans la zone désignée de l’Attique. Il lui est également interdit d’interagir avec des mineurs sans la présence ou le consentement de leurs tuteurs et est tenu d’assister à des séances psychiatriques une fois par mois.

A noter qu’il y a 3 ans, en avril 2020, il a été libéré sur parole d’une prison à Grevenoù il a été détenu, ce qui a provoqué une vive réaction dans la communauté locale, ainsi qu’au sein de l’association du barreau de Réthymnon, qui a défendu les victimes de pédophilie en première et en deuxième instance.

Le violeur n’a jamais montré de remords et a affirmé que ses relations sexuelles avec les victimes âgées de 12 à 17 ans étaient avec leur consentement. Il aurait été libéré sur parole en 2020, mais a rapidement été de nouveau arrêté et envoyé en prison pour violation de la liberté conditionnelle. La libération de mardi a provoqué l’intervention d’un procureur de la Cour suprême, qui a exigé un réexamen pour voir si les conditions d’une libération anticipée étaient remplies. Le procureur en chef vérifiera avec quel soin la libération est justifiée et s’il existe des « lacunes » juridiques. Dans le même temps, il existe une option selon laquelle l’ordre de sortie peut être annulé, rapportent les médias locaux.

Le Code pénal prévoit que les années effectives d’exécution d’une peine dans les conditions ne peut excéder 20 ans et le condamné peut bénéficier de dispositions préférentielles et être libéré des lieux de privation de liberté en l’absence d’autres motifs disciplinaires et de responsabilité pénale.



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