octobre 6, 2024

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Nouvelles en français de Grèce

Nous travaillons pour l’impôt… 171 jours par an

Depuis le début de l’année jusqu’à hier, le 20 juin, nous avons travaillé uniquement pour payer les impôts et les cotisations annuelles. Les résidents de la Grèce doivent « labourer » pour les besoins de la machine d’État 171 jours sur 365 par an.

Le 21 juin est la Journée de la liberté fiscale, et cette année, elle arrive deux semaines plus tôt qu’en 2022 (qui était alors célébrée le 5 juillet), et nous avons donc « travaillé pour l’État » 185 jours par an.

Les données d’une étude menée par le Center for the Humanities (Κέντρου Φιλελεύθερων Μελετών) montrent que l’argent que les contribuables gagnent pendant près de six mois de leur travail ne va pas à leurs propres besoins (et à leurs familles), mais au Trésor public.

En fait, en 2022, nous ont payé 2 fois plus d’impôts et de cotisations (88,5 milliards d’euros) qu’ils n’en ont dépensé pour leurs propres besoins de base. Les ménages ont dépensé 44,1 milliards d’euros pour le logement, l’alimentation, l’habillement, les transports et les communications (téléphones).

Seulement les chiffres:

  • Les 171 jours de travail prévus pour les travailleurs en 2023 représentent la charge fiscale la plus faible depuis 2011, lorsque le chiffre correspondant était de 169 jours.
  • Selon l’OCDE, satisfaction des citoyens grecs pendant une pandémie (2020) par les services de l’État dans le système éducatif est le plus bas. En ce qui concerne la satisfaction à l’égard des services de système de santé La Grèce se classe au deuxième rang à partir du bas de la liste, parmi 35 pays aux économies développées.
  • Selon une enquête de l’OCDE, Satisfaction des citoyens grecs à l’égard des services publics pendant une pandémie est l’un des plus bas parmi les pays développés. En particulier Les citoyens grecs ont le taux de satisfaction le plus bas à l’égard des services publics dans le système éducatif (36 %) parmi 35 pays développés.

Il est prévu que Le revenu national net en 2023 atteindra 186,4 milliards d’euros.

Commentant les résultats de cette année, Nikos Rompapas, directeur exécutif du Centre d’études humanitaires, a déclaré : « La réduction significative des incitations fiscales dans notre pays cette année, si, bien sûr, les prévisions pertinentes sont confirmées par les données définitives, est un pas dans la bonne direction, puisque conduit à une augmentation du revenu réel disponible des ménages, encourage l’investissement et la création d’emplois. Il s’agit maintenant de continuer à réduire la charge fiscale tout en améliorant considérablement la qualité des services fournis par l’État aux citoyens grâce à l’introduction de nouvelles technologies.« .



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