mai 20, 2024

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Inflation élevée et incertitude "acculé" ouvriers

Le pourcentage de travailleurs qui ont de l’argent en main à la fin du mois diminue de manière significative. Cette conclusion est basée sur une étude de PwC qui détaille les tendances et les comportements de près de 54 000 travailleurs dans 46 pays et régions.

En particulier, un travailleur sur quatre (26 %) déclare qu’il est susceptible de changer d’emploi au cours des 12 prochains mois, contre 19 % l’an dernier. De même, les travailleurs qui ont dit qu’ils étaient plus susceptibles de changer d’employeur comprenaient ceux qui se sentir dépassé (44 %), avoir du mal à joindre les deux bouts (38 %) et Génération Z, Verts (35 %).

Selon l’enquête, les objectifs de l’entreprise et les niveaux de salaire restent des facteurs déterminants pour les employés. Parmi ceux qui ont dit qu’ils étaient susceptibles de changer d’employeur, moins de la moitié (47 %) ont dit qu’ils trouvent leur travail satisfaisant comparativement à 57 % de ceux qui sont peu susceptibles de changer d’employeur.

Au niveau international, les travailleurs se sentent de plus en plus manque de revenu disponible nécessaireparce que le la récession économique et les problèmes d’inflation continuent d’affecter leur situation financière.

Part de la main-d’œuvre mondiale qui déclare avoir l’argent restant à la fin du mois est tombé à 38% contre 47% l’année dernière.

Un travailleur sur cinq (21 %) occupe actuellement plusieurs emplois, et 69 % disent le faire parce qu’ils ont besoin d’un revenu supplémentaire. La proportion de travailleurs à temps partiel est la plus élevée parmi la génération Z (30 %) et les minorités ethniques (28 %).

Les tensions économiques font également augmenter les revendications salariales, le pourcentage de travailleurs prévoyant d’exiger des salaires plus élevés passant de 35 % à 42 % en glissement annuel. Parmi les travailleurs éprouvant des difficultés financières, près de la moitié (46 %) envisagent de demander une augmentation de salaire dans un proche avenir.

Ainsi, les travailleurs dont les ressources financières sont limitées sont moins susceptibles et moins aptes à relever les défis de l’avenir, notamment la nécessité de développer de nouvelles compétences et de s’adapter au développement de l’intelligence artificielle. Par rapport aux employés qui sont à l’aise pour remplir leurs obligations, ceux qui ont du mal ou ne peuvent pas le faire sont 12 points de pourcentage moins susceptibles de dire qu’ils recherchent activement des opportunités pour développer de nouvelles compétences (62 % contre 50 %), selon un PwC enquête.

De même, les employés qui se sentent plus à l’aise financièrement, sont plus susceptibles de demander l’avis de leurs collègues et superviseurs au travail et de l’utiliser pour améliorer leur travail (57 %) que ceux qui éprouvent des difficultés financières (45 %).

Selon les données, plus d’un travailleur aisé sur trois (37 %) déclare que l’IA augmentera sa productivité.

De même, les travailleurs aisés pensent que l’IA créera de nouveaux emplois (24 % contre 19 %), tandis qu’un pourcentage plus faible déclare que le développement de la technologie va aggraver la nature de leur travail (13 % contre 18 %). %).

Selon les répondants dans leurs réponses, les travailleurs qualifiés font face à un environnement économique et professionnel en évolution rapide avec une plus grande confiance. Dans le même climat, les travailleurs qui affirment que leur emploi nécessite des compétences particulières sont plus susceptibles d’anticiper les changements à venir.

Plus de la moitié (51 %) ont répondu à l’enquête que les compétences nécessaires à leur emploi changeront considérablement au cours des cinq prochaines années, comparativement à 15 % chez les travailleurs sans formation spéciale.

De plus, environ les deux tiers des travailleurs qualifiés ont déclaré que confiants que leur employeur les aidera à développer les compétences numériques, analytiques et collaboratives dont ils auront besoin à l’avenir. Ces taux sont inférieurs à 50 % chez les personnes actuellement au chômage.



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