Une effervescence inimaginable règne depuis 24 heures à la porte des services de police chargés de la délivrance des cartes d’identité (tavtotit).
Par exemple, au poste de police d’Héraklion se pressaient de nombreux citoyens. La ruée vers les taautotites s’est transformée en « massacre ». L’une des femmes est tombée malade et s’est évanouie. La dame a été immédiatement appelée en ambulance et les médecins lui ont recommandé de les accompagner à l’hôpital. Cependant, elle a catégoriquement refusé, invoquant le fait qu ‘ »elle perdrait sa place (numéro de série) dans la file d’attente ». Bien, que puis-je dire!
En particulier, selon Cretapost, aujourd’hui, lundi 28/08, une femme, faisant la queue, a perdu connaissance devant des gens effrayés autour d’elle.
Les policiers l’ont placée dans un endroit ombragé et ont appelé une ambulance EKAB. Les médecins sont arrivés sur place et ont placé la victime dans une ambulance où ils lui ont prodigué les premiers soins. Après cela, la dame, « reprenant ses esprits », a souhaité retourner dans la file d’attente et y prendre sa place.
https://rua.gr/news/procrim/57295-dichajshij-epizod-prikhozhanka-udarila-svyashchennika-iz-za-tavtotity.html
Les files d’attente à Héraklion seraient si longues que les citoyens passent la nuit dans leur voiture pour ne pas « abandonner » la file. Autrement dit, de nombreuses personnes font la queue devant la porte du commissariat depuis la nuit. Ils dorment dans la voiture pour se réveiller le matin et être parmi les premiers à se positionner à temps pour recevoir une carte d’identité.
Il convient de noter que, selon Cretapost, seuls 50 citoyens environ peuvent servir quotidiennement dans les commissariats de police.
More Stories
Thessalonique : un homme reconnu coupable d'utilisation de faux diplôme
Le parquet étudie des photographies montrant des inconnus causant des dommages aux voies ferrées
Thessalonique : un homme a détruit la voiture de son voisin avec une hache