mai 17, 2024

Athens News

Nouvelles en français de Grèce

Freelances : augmenter les taux d’imposition et réduire les coûts


Impôt sur les bénéfices 15%-20%, revenu minimum 10 000 euros, factures électroniques, livres, factures et en arrière-plan l’annulation des frais imaginaires et la confirmation de résidence.

Pour le modèle de fiscalité des indépendants et des travailleurs indépendants, avec intervention sur leurs taux d’imposition, notamment pour les personnes classées comme « pauvres » (revenus jusqu’à 10 000 euros par an), la « réduction » des dépenses qui sera reconnue par le bureau des impôts pour déduction de leur chiffre d’affaires. En outre, des incitations et des dissuasions sont introduites pour la facturation électronique obligatoire et la tenue des livres électroniques myDATA, ce qui, selon les autorités, mettra de l’ordre dans les états financiers des entrepreneurs.

Puisque plus de 60% des indépendants déclarent des revenus extrêmement faibles, ne dépassant pas 10 000 euros, soit Lorsque les revenus sont inférieurs à ceux d’un travailleur percevant le salaire minimum, le gouvernement envisage de passer à une approche de la « carotte et du bâton ». Des mesures visant à lutter contre l’évasion fiscale seront mises en œuvre en premier, suivies par les promesses électorales de Mitsotakis d’abolir progressivement l’impôt sur le revenu et une « réduction » de 30 % du coût de la vie – des mesures qui seront « débloquées » à partir de 2025.

Jusqu’à aujourd’hui, la première tranche d’imposition pour les indépendants s’élevait à 10 000 € avec une taxe de 9 %. A partir de 2024, le nouveau taux atteindra 10 000 euros avec une taxe de 15 à 20 %.

Dans le domaine fiscal, le Ministère de l’Économie Nationale et des Finances prévoit les mesures suivantes : etModifications du régime fiscal des indépendants et des indépendants.

Ceux qui déclarent au fisc un revenu annuel allant jusqu’à 10 000 euros passent au premier plan. De nombreux scénarios sont envisagés, mais les professionnels de l’économie tireront une conclusion lorsqu’ils recevront les résultats des contrôles croisés que l’AADE est déjà en train de « réaliser » sur les 3,8 millions de déclarations de revenus des ménages affirmant avoir gagné des revenus allant jusqu’à €. 10 000 en 2021.

1. Augmentation du taux d’imposition. L’une des propositions à l’étude augmenterait le taux d’imposition des revenus compris entre 7 000 et 10 000 euros. Actuellement, un barème d’imposition unique s’applique aux salariés, aux retraités et à ceux qui perçoivent des revenus d’activités professionnelles. Le premier taux de 9% s’applique aux revenus jusqu’à 10 000 €.

Une réflexion est actuellement menée pour augmenter ce taux à 15 % ou 20 % pour les professionnels, avec la possibilité de perturber les taux d’autres tranches d’imposition. Il convient de noter que les indépendants ont été les grands gagnants de la réforme fiscale de 2020, puisque leur charge fiscale a été réduite de 60 % après que le premier taux ait été réduit de 22 % à 9 %.

Il est même prévu d’introduire des critères particuliers pour déterminer les revenus de cette catégorie de contribuables. Un nouveau système fiscal pour les professionnels et les indépendants sera présenté au Parlement dans les prochains mois.

2. Factures électroniques. Ils deviendront obligatoires en 2024 afin que les transactions puissent être recoupées et vérifiées en temps réel. Dans le même temps, le contrôle du fisc est renforcé, automatisé et numérisé. Pour la facturation électronique, il est envisagé de maintenir jusqu’à fin 2024 les incitations actuellement accordées à ceux qui utilisent la facturation électronique par l’intermédiaire d’un fournisseur, notamment des remboursements d’impôt express, une réduction de 2 ans du délai de prescription et des remises plus importantes sur les factures électroniques. certaines dépenses.

3. Introduction généralisée des livres électroniques (myDATA). Les revenus déclarés ne peuvent pas être inférieurs aux revenus collectés via les rapports électroniques (myDATA, cash – POS), et seules les factures soumises électroniquement à myDATA seront reconnues comme factures de dépenses à déduire des revenus bruts. L’expansion de myDATA est actuellement en cours et la mise en œuvre complète sera achevée en 2024.

4. Amendes pour utilisation d’espèces. L’amende pour utilisation d’espèces dépassant 500 € a été portée au double du montant de la transaction et le contrôle de la mise en œuvre de cette mesure a été renforcé grâce au reporting numérique.



Source link

Verified by MonsterInsights