mai 19, 2024

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La première frégate FDI HN Belharra destinée à la marine hellénique a été lancée en France


La première des trois frégates FDI HN « Belharra » commandées pour la marine hellénique a été lancée mercredi sur le site de Naval Group à Lorient, en France.

Les médias électroniques grecs (par exemple Enikos) écrivent que Tasos Rozolis, président-directeur général de la société « ΑΚΜΩΝ », en tant que président de ΣΕΚΠΥ (ASSOCIATION DES FABRICANTS GRECS DE MATÉRIAUX DE DÉFENSE), complote pour obtenir des travaux de sous-traitance pour les frégates françaises, disproportionnés à son poids et expérience.

Le lancement de la frégate « KIMON » a eu lieu en présence du ministre grec de la Défense nationale Nikos Dendias, de son homologue français Sebastian Lecornu, du chef d’état-major général de la marine grecque, le vice-amiral Ioannis Drimoussis et d’un grand nombre de dignitaires.

La frégate « KIMON » a une longueur de 122 m, une vitesse maximale de 27 nœuds et est équipée de technologies numériques avancées telles qu’un module de capteur panoramique, un système sonar de pointe CAPTAS-4 et un système de sonar entièrement numérique. Radar de feu de mer.

Vidéo : « Belharra » se lançant à l’eau.

La première des trois frégates devrait être livrée à la Grèce d’ici un an. Le contrat a été signé entre le Premier ministre grec Mitsotakis et le président français Macron en 2021.

https://rua.gr/news/gospol/43878-gretsiya-obyavila-o-priobretenii-u-frantsii-6-voennykh-korablej.html

Le coût de chaque frégate est un milliard d’eurosrapporte MEGA TV, ajoutant qu’il s’agit du premier navire de la marine grecque après 25 ans d’interruption.

Comment les Français trompent les Grecs avec les frégates Belharra et les chasseurs Rafale

Comment les Français trompent les Grecs avec les frégates Belharra et les chasseurs Rafale

Début 2023, plusieurs conflits ont éclaté dans l’industrie de défense grecque à propos de deux achats importants de chasseurs Rafale et de frégates Belharra, qui, sur ordre du cabinet du Premier ministre, n’étaient pas inclus dans la production commune.

Les médias électroniques grecs (par exemple Enikos) écrivent que Tasos Rozolis, président-directeur général de la société « ΑΚΜΩΝ », en tant que président de ΣΕΚΠΥ (ASSOCIATION DES FABRICANTS GRECS DE MATÉRIAUX DE DÉFENSE), complote pour obtenir des travaux de sous-traitance pour les frégates françaises, disproportionnés à son poids et expérience.

Le match qui a allumé le feu est une publication étrangère qui fait l’éloge du projet du Groupe Navale et souligne clairement que Tasos Rozolis, en tant que président et représentant de ΣΕΚΠΥ, promeut principalement les intérêts de son entreprise « ΑΚΜΩΝ ».

L’incendie s’est ensuite propagé à Mesogeia et Inofyta, où se trouvent presque toutes les usines de défense les plus rentables du secteur, où les membres de ΣΕΚΠΥ ont ouvertement exprimé leur mécontentement d’avoir été tous exclus du processus d’attribution des projets de cogénération. En effet, lors du débat public sur les arguments entre Enikos et Tasos Rozoli, une question clé a été posée au président de ΣΕΚΠΥ : « Est-il vrai ou non que l’entreprise française a demandé un appel d’offres à trois entreprises, mais a finalement dit les deux autres de ne pas participer à l’appel d’offres parce que le projet vous avait déjà été attribué. Pourquoi, Monsieur Rosolini, est-il si pressé de vous confier un projet qui, apparemment, leur coûterait moins cher que les deux autres sociétés ?

Cependant, la bagarre qui a éclaté entre le président du ΣΕΚΠΥ et les membres de l’association semble se dérouler dans la grange d’un autre. Car, comme le note avec justesse Enikos, « ce serait bien que des CONTRATS spécifiques (de NAVAL et de Dassault) soient annoncés pour voir si les « miettes » étaient réellement partagées par rapport aux milliards de livraisons… ».

Les 6 premiers avions Rafale arriveront en Grèce et survoleront l'Acropole mercredi midi

Comme signalé précédemmentle groupe français Dassault, après avoir reçu 2,5 milliards de dollars d’avance de la part de la Grèce, est désormais faire de son mieux obtenez 30 millions supplémentaires pour soutenir le Rafale.

Pendant un an et demi, les Français ont été manifestement indifférents au respect de cette obligation conventionnelle. Et maintenant que la situation a atteint le point de rompre le traité, les responsables de Dassault font des allers-retours entre Athènes et Paris pour trouver une formule qui donnerait l’impression que les Français agissent conformément aux accords conclus.

Il y a un autre point très important : les compensations des années passées provenant des programmes Mirage 2000-5, à propos desquelles existent des soupçons et des accusations de gonflement des prix en faveur de Dassault et au détriment de l’État grec.

M. Peskov, coordinateur central des compensations de Dassault, est recherché à Athènes pour apporter des précisions à la Direction générale de l’armement alors qu’il est appelé à témoigner devant le tribunal.

Le match qui a allumé le feu est une publication étrangère qui fait l’éloge du projet du Groupe Navale et souligne clairement que Tasos Rozolis, en tant que président et représentant de ΣΕΚΠΥ, promeut principalement les intérêts de son entreprise « ΑΚΜΩΝ ».

L’incendie s’est ensuite propagé à Mesogeia et Inofyta, où se trouvent presque toutes les usines de défense les plus rentables du secteur, où les membres de ΣΕΚΠΥ ont ouvertement exprimé leur mécontentement d’avoir été tous exclus du processus d’attribution des projets de cogénération. En effet, lors du débat public sur les arguments entre Enikos et Tasos Rozoli, une question clé a été posée au président de ΣΕΚΠΥ : « Est-il vrai ou non que l’entreprise française a demandé un appel d’offres à trois entreprises, mais a finalement dit les deux autres de ne pas participer à l’appel d’offres parce que le projet vous avait déjà été attribué. Pourquoi, Monsieur Rosolini, est-il si pressé de vous confier un projet qui, apparemment, leur coûterait moins cher que les deux autres sociétés ?

Cependant, la bagarre qui a éclaté entre le président du ΣΕΚΠΥ et les membres de l’association semble se dérouler dans la grange d’un autre. Car, comme le note avec justesse Enikos, « ce serait bien que des CONTRATS spécifiques (de NAVAL et de Dassault) soient annoncés pour voir si les « miettes » étaient réellement partagées par rapport aux milliards de livraisons… ».

Les 6 premiers avions Rafale arriveront en Grèce et survoleront l'Acropole mercredi midi

Comme signalé précédemmentle groupe français Dassault, après avoir reçu 2,5 milliards de dollars d’avance de la part de la Grèce, est désormais faire de son mieux obtenez 30 millions supplémentaires pour soutenir le Rafale.

Pendant un an et demi, les Français ont été manifestement indifférents au respect de cette obligation conventionnelle. Et maintenant que la situation a atteint le point de rompre le traité, les responsables de Dassault font des allers-retours entre Athènes et Paris pour trouver une formule qui donnerait l’impression que les Français agissent conformément aux accords conclus.

Il y a un autre point très important : les compensations des années passées provenant des programmes Mirage 2000-5, à propos desquelles existent des soupçons et des accusations de gonflement des prix en faveur de Dassault et au détriment de l’État grec.

M. Peskov, coordinateur central des compensations de Dassault, est recherché à Athènes pour apporter des précisions à la Direction générale de l’armement alors qu’il est appelé à témoigner devant le tribunal.



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