Selon les experts intervenant lors de la 2e conférence sur le bien-être, le chemin qui mène de la maladie mentale au bien-être est long et le statut socio-économique a un impact significatif.
Une personne sur huit, dont un grand nombre d’adolescents, est confrontée à un problème de santé mentale en Grèce et à l’étranger. La santé mentale est un droit humain universel. Toute personne a droit à la plus grande protection possible contre les risques, à des soins de santé mentale accessibles, à l’indépendance et à la participation à la société.
Néanmoins, dans la société, tous ceux qui ont un « diagnostic psychiatrique » sont stigmatisés (les gens ordinaires sont « marqués de honte » et appelés « psychiatres »). Ainsi, cachant soigneusement ses problèmes, une personne ne se tourne pas vers les médecins, craignant la censure du public, et ne reçoit donc pas d’aide opportune et décente.
À cet égard, le ministère de la Santé a décidé de immédiatement introduire une législation visant à réformer de manière significative la structure et le fonctionnement des services de santé mentale dans les secteurs public et privé en termes d’approche et de traitement des personnes souffrant de maladie mentale (et de toxicomanies). La réforme à venir portera également sur le volontariat. C’est ce qu’a notamment mentionné le vice-ministre de la Santé, Dimitris Vartzopoulos, lors de la 2ème conférence sur le bien-être, tenue le 10 octobre à Zappeio Megaro, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale.
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