La police grecque a arrêté cinq personnes dans un camp de prisonniers de migrants sur l’île de Samos dans la soirée du 18 octobre, après qu’un grand groupe de migrants et de réfugiés se soient rassemblés à l’extérieur du camp pour protester contre une attaque contre un hôpital dans la bande de Gaza qui a tué plus de 500 personnes. les gens. .
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Environ 700 personnes, pour la plupart des Palestiniens et des Syriens, ont manifesté à l’intérieur du camp. À un moment donné, plusieurs personnes de différentes branches se sont dirigées vers la porte, criant des slogans en faveur de la Palestine et contre Israël, ont rapporté les médias.
Un drone de la police a été utilisé pour coordonner l’opération visant à ramener les manifestants chez eux. Initialement, sept manifestants ont été arrêtés ; pour cinq d’entre eux, les détentions se sont soldées par des arrestations.
La police a déclaré que les personnes arrêtées avaient jeté des pierres sur la police et incité d’autres étrangers à participer aux attaques. Ils sont accusés d’incitation à la violence, de trouble à l’ordre public et de violences contre les salariés.
Last night, Palestinian and Syrian refugees in various refugee camps of #Greece rioted and protestsd against #Israel in support of #Hamas terrorists. Greek authorities should deport these Islamists. pic.twitter.com/meMqwxwVZS
— Babak Taghvaee – The Crisis Watch (@BabakTaghvaee1) October 18, 2023
Hier soir, des réfugiés palestiniens et syriens dans divers camps de réfugiés en Grèce se sont révoltés et ont protesté contre Israël pour soutenir les terroristes du Hamas. Les autorités grecques doivent expulser ces islamistes.
Les cinq personnes arrêtées sont accusées d’incitation à la violence, de trouble à l’ordre public et d’incitation au crime, à la violence ou aux conflits.
La structure, située à Zervou Mytilinion sur l’île de Samos, accueille actuellement 4 500 migrants.
Renforcer les mesures de sécurité dans les lieux où vivent les migrants
Rappelons que dans la soirée du jeudi 12 octobre, des émeutes ont également eu lieu sur l’île de Leros lorsque 123 immigrants d’origine syrienne et palestinienne ont quitté le centre d’hébergement en demandant à être transférés à Athènes.
La police et les garde-côtes ont été immédiatement mobilisés, ce qui a permis de ramener 121 personnes dans le bâtiment et aux autorités de procéder à un petit nombre d’arrestations.
Un petit groupe de personnes a réussi à monter à bord d’un navire à destination du port du Pirée. En conséquence, trois migrants qui étaient montés à bord de l’avion se sont retrouvés sans papiers et munis de fausses cartes d’embarquement et ont été arrêtés.
Après cet incident, il a été décidé de suspendre temporairement la possibilité pour les résidents de Leros de quitter la structure pour migrants.
Suite à l’évolution de la situation au Moyen-Orient, le service national de renseignement grec et le département antiterroriste surveillent et collectent en permanence des informations sur les personnes d’intérêt, tant dans les zones résidentielles que dans les « points chauds » où vivent les immigrants du Moyen-Orient.
Des équipes de la police anti-émeute (MAT) ont été déployées sur les îles de Kos, Leros et Samos, dans la mer Égée, a rapporté le site d’information thetoc.gr.
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