Ilia : l’étrange histoire du suicide d’une gitane de 27 ans

Le suicide présumé d’une femme rom de 27 ans dans le centre de détention temporaire de la police du district d’Iliya soulève de sérieuses questions.

Selon la police, la femme s’est suicidée en utilisant la veste qu’elle portait, en l’attachant aux barreaux de sa cellule. La femme a été accusée de plusieurs délits ces dernières années, principalement de vol, et a été récemment arrêtée dans la zone d’Amalia pour avoir volé une petite somme et a été conduite hier devant le tribunal de première instance où elle a été condamnée à 12 mois de prison. Laquelle – selon le tribunal – doit être exécutée en raison d’infractions commises par elle dans le passé.

Le suicide présumé d’une femme rom dans un centre de détention temporaire soulève de sérieuses questions, dans la mesure où aucun expert légiste ne s’est rendu sur les lieux de l’incident pour mener une enquête et une autopsie appropriées et que le service médico-légal a simplement été informé de l’événement tragique.

Les responsables de l’ambulance appelée par la police et les policiers qui ont pris l’affaire en main auraient dû laisser le corps à l’endroit où il a été retrouvé et appeler immédiatement un médecin légiste pour qu’il se prononce sur les circonstances de ce décès tragique. . Ce qui, pour des raisons inconnues, n’a pas eu lieu.

Cette histoire a déjà suscité l’indignation des communautés roms locales et pourrait conduire à des manifestations et des émeutes. La police n’en a-t-elle vraiment pas assez de ces histoires (comme avec le gitan de 17 ans à Thèbes), qui se déroulent dans d’autres régions, et ils voulaient des sports extrêmes ?

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