mai 17, 2024

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La femme a surpris son mari en train de la regarder et l’a envoyé… en prison


Un homme de 38 ans de Larissa, arrêté par la police de son département de district, est accusé d’avoir violé la loi sur les données personnelles.

Le 2 janvier 2024, le dossier de l’homme a été transféré au procureur adjoint du tribunal plénier qui, selon le journal Eleftheria, a ordonné une enquête préliminaire complémentaire afin que la police judiciaire de la police nationale puisse récupérer les données de son téléphone portable. , que sa femme a brisé de colère.

Il a mis le téléphone dans la salle de bain pour enregistrer

L’homme, désireux de « ne pas perdre sa femme », comme il l’a déclaré pour justifier sa position, comparaîtra devant le tribunal pour atteinte à la vie privée et à la communication, comme le prévoit le Code criminel, et ce délit est puni de un an d’emprisonnement minimum.

Dès qu’elle a remarqué le smartphone, elle l’a cassé

L’homme, apparemment en raison d’un conflit personnel et familial, au mépris des conséquences de la loi, a jugé bon, peu avant midi le 31 décembre, de placer son téléphone portable dans la salle de bain de la maison, en le cachant dans un panier à linge pour qu’il ne tombe pas. être découvert, enregistrant ainsi « des moments privés des membres de votre famille à leur insu. »

Selon la police, l’épouse, se rendant compte du geste de son mari, a détruit le smartphone. Devenu non fonctionnel en raison des dégâts infligés par son épouse, il fut cependant retiré EL.AS. à envoyer pour examen en laboratoire à des fins de récupération des données.

L’épouse a déclaré que le téléphone portable de son mari était placé dans la salle de bain, où il était activé pour enregistrer une vidéo. Alors que, selon le mari arrêté, le téléphone portable était bien activé, mais uniquement pour enregistrer du son afin, comme expliqué, de vérifier le bien-fondé des soupçons.

Un homme après une plainte contre lui a été arrêté le soir du Nouvel An et libéré le matin du 2 janvier par décision du procureur adjoint d’ordonner un complément d’enquête préliminaire.



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