mai 19, 2024

Athens News

Nouvelles en français de Grèce

France : Un homme de 30 ans est décédé après que la police l’a électrocuté avec un pistolet paralysant au moins 10 fois.


Un homme de 30 ans est décédé des suites d’un choc électrique après que la police a utilisé une dizaine de fois un pistolet paralysant, selon le Figaro – dans le nord de Paris.

Le jeune homme est décédé vendredi matin après une courte hospitalisation. Selon les premiers résultats de l’enquête, cités par le parquet, six policiers ont fait usage du pistolet paralysant.

Tout a commencé lorsque 18 policiers sont arrivés jeudi peu après minuit dans un supermarché de Montfermel pour arrêter un homme qui, selon les autorités, agissait « agressivement ».

Le propriétaire du supermarché a signalé des menaces et des agressions de la part de l’homme, qui a ensuite passé un alcootest. Selon certaines informations, l’homme aurait attaqué les policiers, dont l’un aurait été mordu au doigt et aurait été blessé au visage. La police arrivée sur place a appelé des renforts.

Selon les premiers éléments de l’enquête cités par le parquet de Bombini, dans la banlieue nord de Paris, six policiers ont utilisé à tour de rôle des pistolets paralysants contre le « voyou ». Le cœur du détenu s’est arrêté à deux reprises, après quoi il a été hospitalisé dans un état comateux.

L’homme est né le 1er janvier 1994 à la Martinique, département français d’outre-mer. Les autorités procéderont lundi à une autopsie de son corps.

Selon une source proche du dossier, qui a fourni une description des agents, la première équipe de l’Équipe anticriminalité (BAC) est intervenue suite à une plainte téléphonique du propriétaire du magasin, qui se plaignait de menaces et d’agressions de la part de l’homme. Par la suite, de l’alcool a été détecté dans son sang. Sur place, les policiers ont été agressés par un homme qui a grièvement mordu le policier au doigt et l’a blessé au visage. Ils ont donc appelé des renforts.

L’opération fait l’objet d’une enquête de l’Inspection générale de la police nationale française (IGPN). La police n’a pas encore témoigné, l’étude des images de vidéosurveillance se poursuit.





Source link

Verified by MonsterInsights