Orbán contre Mitsotakis : la Hongrie n’est pas à vendre. Et la Grèce ?

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui a critiqué la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a déclaré : « Il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour nous obliger à accepter des immigrants illégaux sur notre territoire. »

En même temps, il n’a pas manqué de reprocher ce qui se faisait dans d’autres pays. UE (par exemple en Grèce) qui demandent de l’argent en échange du séjour d’étrangers musulmans sur leur territoire ou qui confient leurs enfants en adoption à des couples homosexuels.

A noter que lors du dernier sommet à Bruxelles en décembre dernier, le Premier ministre Mitsotakis avait demandé plus d’argent pour accueillir toujours plus d’étrangers en Grèce.

Ursula von der Leyen a proféré de nouvelles menaces contre la Hongrie, affirmant que les 50 milliards d’euros prévus pour le pays restent bloqués car toutes les conditions fixées par la Commission européenne n’ont pas été remplies.

Von der Leyen a déclaré : « Nous avons promis de garantir l’État de droit et d’être équitables envers tous les pays membres. La Hongrie a répondu à certaines de nos recommandations nécessaires pour remplir les conditions des fonds de cohésion. Environ 50 milliards d’euros alloués à la Hongrie restent bloqués jusqu’à ce que toutes les conditions soient remplies. Ce sont les règles sur lesquelles nous étions tous d’accord. »

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Viktor Orbán met en garde Ursula von der Leyen : « La Hongrie ne peut pas faire l’objet de chantage ! Il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour nous forcer à accepter une migration massive et à confier nos enfants aux militants LGBTQ. C’est impossible ! » Un vrai leader qui aime son peuple.

Réponse d’Orban : « La Hongrie ne peut pas être soumise au chantage ! Aucune somme d’argent ne nous obligera à accepter des immigrants illégaux sur notre territoire. Il n’y a pas d’argent qui nous obligera à confier nos enfants ou petits-enfants entre les mains de personnes LGBTQ. C’est impensable » – a déclaré le Premier ministre hongrois dans une interview.

« La présidente de la commission n’a pas pu éviter cela. Elle a dû dire quel était le problème des Hongrois. Pourquoi ne leur donne-t-elle pas l’argent auquel ils ont droit ? Ainsi, cette dame a dit clairement et directement qu’elle ne les donnerait pas pour deux raisons :pparce que les Hongrois n’acceptent pas les immigrés illégaux et parce qu’ils n’acceptent pas que leurs enfants soient confiés à des personnes LGBT. Et c’est faux du point de vue de l’Europe. Toujours en accord avec la perspective avec laquelle ils envisagent l’Europe, en voulant atteindre cet objectif à tout prix, y compris sous la pression financière. »

Orbán a conclu : « Ce que nous pouvons répondre très calmement, c’est que même avec tout l’argent du monde, ils ne nous obligeront pas à accepter un seul immigrant clandestin sur notre territoire et nous ne leur permettrons pas de s’emparer de notre pays. Nous ne créerons pas des conditions similaires à celles que nous voyons dans d’autres capitales occidentales, à savoir la menace du terrorisme, de la criminalité et des sociétés parallèles. C’est impossible! »…

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