mai 20, 2024

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ΑΔΑΕ : "Dissimulation" ΕΥΠ et le service antiterroriste dans des milliers de renonciations au secret


Bureau de la protection de la vie privée des communications (ΑΔΑΕ) est resté longtemps dans l’ignorance parce que le Service national de renseignement (ΕΥΠ), relevant du Premier ministre Kyriakos Mitsotakis,

et la Direction de lutte contre les crimes violents spéciaux (ΔΑΕΕΒ), connue sous le nom de Direction antiterroriste, bien que légalement obligée, pendant une période déraisonnablement longue je n’ai pas envoyé un total de 6 705 décisions de poursuites liées avec l’abolition du secret des communications pour des raisons de sécurité nationale, rapporte la publication in.gr

En pratique, en raison de ce retard, ΕΥΠ et le service antiterroriste ont caché des milliers de documents déclassifiés à l’organisme constitutionnellement garanti, rendant impossible tout contrôle puisque ΕΥΠ ignorait leur existence.

En 2022, 6 705 ordonnances de poursuites pour 2021 ont été envoyées.

La nouvelle révélation est rapportée par le site insidestory.gr, citant le rapport d’activité de l’ADAE pour 2022, publié mercredi soir (31/01). Selon le rapport, ΑΔΑΕ a envoyé en 2022, avec beaucoup de retard, 717 dispositions de poursuite supplémentaires liées à 2021 et qui n’avaient pas été transmises plus tôt. ΔΑΕΕΒ, à son tour, n’a pas envoyé 5988 ordonnances de poursuites à ΑΔΑΕ pour 2021, et ne l’a pas non plus fait en 2022. Leur nombre est passé de 15 475 à 22 180.

Le site d’information ajoute le nombre de dispositions de déclassification « oubliées » pour des raisons de sécurité nationale au nombre actuellement connu pour 2021, sur la base du précédent rapport d’activité ΑΔΑΕ, il est passé de 15 475 à 22 180. Le nombre correspondant en 2020 était de 13 751 poursuites. Cela représente une augmentation de 62 % en un an.

Le président de l’Office pour la protection des données personnelles dans l’industrie des communications (ΑΔΑΕ), Christos Rammos, dans la préface du rapport sur ses activités, évoque la réaction de ceux « qui, pour des raisons nombreuses et variées, ne souhaitait pas que les enquêtes et contrôles de ΑΔΑΕ se poursuivent et, en tout cas, ne souhaitait pas que les résultats de ces contrôles soient connus. »

« Grave intervention anti-régime », déclare Chr. Rammos. Une réponse qui, a-t-il dit, « s’est parfois transformée en de graves interventions antiréglementaires, par lesquelles l’indépendance même de la direction a été remise en question, avec des insinuations menaçantes selon lesquelles si la direction ne vérifiait pas ce qui était exigé dans ces interventions, contre ses membres et les employés seront poursuivis, même pour des infractions pénales extrêmement graves.

Heureusement, note M. Rammos, « le ministère a su ignorer ces réactions et voler de ses propres ailes. » En agissant de manière décisive et du mieux qu’il a pu dans ce climat extrêmement négatif, il a rempli son devoir constitutionnel, qui n’est rien de moins que pour protéger le droit « absolu » à la confidentialité des communications, si sensible aux termes de la Constitution. »

Rapport sur les activités de ΕΥΠ



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