mai 8, 2024

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Airbnb encore à l'automne "ils vont te mettre la pression"


Créé par l'IA

Suite à l'introduction de conditions plus strictes pour l'obtention d'un Golden Visa, le gouvernement prévoit d'introduire de nouvelles mesures dans le cadre des locations à court terme qui permettront de répondre plus efficacement à la crise du logement.

La question des locations à court terme sera à nouveau soulevée cet automne lorsque les décisions finales seront prises sur la nature et l'ampleur des changements. Cela a été « laissé échapper » par le ministre de l'Économie nationale et des Finances, Kostis Hatzidakis, qui, faisant référence aux mesures introduites en décembre dernier par la dernière loi fiscale, a déclaré : « Nous avons conclu des premiers accords et maintenant, lorsque nous laissons l’encre de l’accord étant sèche, nous verrons cet été comment il fonctionne et à partir de septembre nous poursuivrons et discuterons à nouveau d’éventuelles interventions.» Plusieurs scénarios de régime de location à court terme sont à l’étude. Prévu:

1. Établir des restrictions quantitatives, spatiales et temporelles sur les locations à court terme par an. Conformément à ce qui est déjà prévu au paragraphe 8 de l'article 111 de la loi 4446/2016 : « Par décision conjointe des ministres de l'économie et des finances nationales, du développement et du tourisme. Zones géographiques où des restrictions peuvent être établies pour la disponibilité de biens immobiliers en location à court terme. En particulier, les éléments suivants s'appliqueront :

  • Ne pas autoriser la location à court terme de plus de deux propriétés par propriété AFM.
  • La durée de location de chaque propriété ne doit pas dépasser 90 jours par année civile, et pour les îles de moins de 10 000 habitants, 60 jours par année civile. Le dépassement du paragraphe précédent est autorisé si le revenu total du bailleur ou du sous-bailleur provenant de l'ensemble des biens locatifs n'excède pas 12 000 € au cours de l'année fiscale concernée.

2. Définir nombre maximum d'objets immobiliers, qui sera loué à court terme par commune. Parallèlement, les autorités compétentes déclareront/enregistreront des données sur le besoin de logement, le montant du loyer et le nombre de biens disponibles à la location à court terme.

Le gouvernement veut d'abord voir comment cette législation fonctionnera avant de décider de nouvelles mesures pour les locations à court terme. On constate que depuis le début de l’année :

  • Les particuliers qui possèdent trois unités immobilières ou plus en location à court terme, osont tenus de démarrer une entreprise en créant une entreprise individuelle. Ils sont désormais soumis aux primes d'assurance correspondantes et doivent payer une TVA de 13 % sur les revenus locatifs bruts à court terme qu'ils perçoivent de tous leurs biens immobiliers exploités.
  • Une « Taxe de Résilience Climatique » (« Taxe de Résilience Climatique ») est facturée sur toutes les locations de courte durée et varie de 0,5 à 10 euros par jour.
  • L'amende pour non-inscription au registre immobilier des locations de courte durée, qui jusqu'au 31.12.2023 était de 5.000 euros et ont été perçus auprès du syndic, qu'il soit propriétaire, bénéficiaire ou tiers, est désormais de 50 % du revenu brut de la dernière année fiscale et d'au moins 5 000 euros pour chaque année fiscale.
  • La durée de location était limitée à 60 jours pour bénéficier d'un statut de location « courte durée ».
  • S'ils sont disponibles pour la location à court terme, tous les appartements d'un immeuble ou d'un complexe résidentiel seront considérés comme des hébergements touristiques et doivent disposer du permis approprié.



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