Aujourd'hui 9 juillet, le Conseil de sécurité de l'ONU examinera les conséquences de l'attaque russe contre un hôpital pour enfants. "Ohmatdet"

Lundi 8 juillet, la Russie a lancé une attaque massive de missiles sur plusieurs villes ukrainiennes. Aujourd'hui, le Conseil de sécurité de l'ONU examinera les conséquences de l'attaque contre un hôpital pour enfants à Kiev.

C'est ce que rapporte Reuters, citant des sources diplomatiques.Le nombre de civils tués a atteint 37 personnes, dont quatre enfants, et 170 autres personnes, dont 13 enfants, ont été blessées. – c'est l'attaque la plus sanglante de 2024. A Kiev, 27 morts, dont 4 enfants, et 117 blessés. Le président ukrainien Vladimir Zelensky a déclaré :

« Au total, près de 100 objets ont été endommagés : un hôpital pour enfants, des maisons ordinaires, des jardins d'enfants, une maternité, un collège, un centre d'affaires. Le déblaiement se poursuit sur le terrain. »

Lundi, l'armée russe a lancé une quarantaine de missiles de différents types à travers l'Ukraine : Kiev, Dnepr, Krivoï Rog, Pokrovsk, Slavyansk et Kramatorsk ont ​​été attaqués. Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a fermement condamné les frappes russes. Il a nommé les frappes contre un hôpital pour enfants et un autre établissement de santé ont été « particulièrement choquantes ». C'est ce qu'a déclaré Stefan Dujarric, représentant du Secrétaire général de l'ONU :

« Les attaques contre des civils et des biens de caractère civil sont interdites par le droit international humanitaire. De telles attaques sont inacceptables et doivent cesser immédiatement. »

La réunion du Conseil de sécurité sera convoquée mardi matin à la demande de la Grande-Bretagne, de la France, de l'Équateur, de la Slovénie et des États-Unis. La représentante permanente du Royaume-Uni auprès de l'ONU, Barbara Woodward, a déclaré dans un X-post :

« Nous condamnerons la lâche attaque russe contre l'hôpital. »

Le ministère russe de la Défense a déclaré que les troupes avaient attaqué des installations de l'industrie de défense et des bases aériennes ukrainiennes. Le ministère a rejeté les accusations de bombardements contre des civils. Malgré cela, souligne Reuters, depuis l’invasion de février 2022, les troupes russes ont tué plusieurs milliers de civils.

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