Elon Musk : les médecins m'ont trompé, ils ont ruiné la vie de mon fils

Elon Musk a déclaré qu'il avait été trompé en acceptant que son fils Xavier prenne des bloqueurs de puberté.

Dans une interview avec le professeur de psychologie Jordan Peterson, l’homme d’affaires a qualifié de « mauvais » les médecins qui changent le sexe des enfants. Il a ajouté que ceux qui promeuvent cette idéologie devraient être emprisonnés. Selon Musk, on lui a dit il y a plusieurs années que s'il ne permettait pas à son fils de prendre de la drogue, il pourrait se suicider. Le milliardaire ne savait pas alors que les bloqueurs conduisaient à la stérilisation.

– C'est arrivé à un de mes fils aînés. En gros, j'ai été amené à signer des papiers pour Xavier. Ensuite, je ne comprenais toujours pas ce qui se passait. Il y avait le Covid, beaucoup d'informations contradictoires… On m'a dit que sinon Xavier risquait de se suicider.
– Un mensonge dès le début !
– Le mal dans sa forme la plus pure. Je suis favorable à la mise en prison des personnes qui font cela. Personne ne m’a expliqué que les bloqueurs de puberté sont simplement de la stérilisation. Bref, je viens de perdre mon fils. Ce n’est pas pour rien que les personnes trans traitent de mort le nom donné à la naissance. Mort parce que… mon fils Xavier est mort… tué par le virus réveillé…
– Malheureusement. Je n'arrive pas à comprendre cela. Aujourd’hui, il y a beaucoup de gens dans cette situation, beaucoup d’enfants infirmes. C'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase pour vous…
– Après cela, j'ai juré de détruire le virus woke*. Et quelque chose s'arrange.
– Bienvenue au club.

En 2022, Xavier a eu 18 ans, est devenu officiellement une petite amie du nom de Vivian Jenna Wilson (nom de famille de la mère) et ne veut plus rien avoir à faire avec son « père biologique »…

Le 17 juillet 2024, Musk a annoncé le déménagement des bureaux de ses entreprises de Californie en raison de la nouvelle loi sur les transgenres de l'État.

* L'idéologie du wokisme (de wake – « éveiller ») est utilisée par les minorités sexuelles dans le sens de « conscience de soi en tant qu'individu qui a des droits ».

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