Sur la photo : Dimitris Karras
Directeur du Bureau Politique Ministre des Transports et de l'Infrastructure Dimitris Karras est jugé pour des accusations de Ôblanchiment d’argent provenant de la traite des êtres humains*.
DANS Le tribunal criminel d'Athènes (Τριμελές Εφετείο Κακουργημάτων) a ouvert le procès de un gang international de trafiquants d'êtres humains nommé « Amaryllis »(du nom de la fille qui a initié cette affaire).
L'une de leurs divisions est la fameuse Gang criminel athéniennom de code « Marina », associés à des cas très médiatisés de proxénétisme. Le groupe a recruté des femmes venues en Grèce en provenance de Colombie et d’autres pays d’Amérique latine, leur promettant une vie meilleure. Elle les gardait sous clé et les louait à des bordels. L'affaire porte le nom Filles de Marinaqui a réussi à s'échapper.
Fille nommée Amaryllis a pu s'échapper de Thessalonique et atteindre Madrid. Avec l’aide des autorités espagnoles, elle est retournée en Grèce pour rapporter ce qui s’était passé. En conséquence, la police grecque a ouvert une enquête en collaboration avec Interpol.
En juin 2023, les salariés EL.AS dépensé raid dans un bordel au centre d'Athènes, à Kallithea, Daphni, Egaleo et sur l'avenue Katehaki. Au total, ils ont trouvé 51 femmes originaires de Colombie, du Venezuela et d’Albanie. On leur a promis que dans quelques mois ils rentreraient dans leur pays avec 20 000 dollars.
Parmi les 10 chefs d’accusation retenus contre les prévenus figure le blanchiment d’argent.
Dimitris Karrasjusqu'à récemment directeur du bureau politique Vasilisa Economou Et Président ONTED Varis, aurait également été impliqué dans cette affaire. Hier, le vice-ministre de l'Infrastructure et des Transports l'a suspendu de ses fonctions en lien avec ces révélations.
Selon Anna Nini, qui en a parlé à Omnia TV, M. Karras, selon l'acte d'accusation, dirigeait l'une des sociétés créées pour blanchir de l'argent. Il révèle également l'adresse partagée du siège social de sa propre entreprise à Vari avec une autre entreprise utilisée par le programme.
En particulier, à partir de documents publiés sur ΓΕΜΗil s'ensuit que l'un des établissements impliqués dans l'affaire est un restaurant de restauration rapide, qui s'est avéré être détenu à 100 % par une figure de proue sous les initiales AQ. Apparemment, un autre restaurant opère à la même adresse, « personne responsable » ce qui est Dimitrios Karras, créé par lui en 2012. Selon ΓΕΜΗil est répertorié à 100 pour cent « propriétaire », pas comment « personne responsable »comme indiqué dans l’acte d’accusation.
Nom de la deuxième fois Dimitrios Karras apparaît dans l'affaire en 2023, lorsque les deux accusés ont procédé à la création d'une autre entreprise basée à Vari avec pour activité déclarée de fourniture de restauration rapide. Selon le reportage d'OmniaTV, cette société aurait également été détenue à 100 % par un homme de paille portant les initiales AQ, et à la même adresse se trouvait un magasin de restauration portant le nom distinctif « MAKKAN », selon l'acte d'accusation, où Dimitrios Karras encore « dirigé les opérations ». Selon l'acte d'accusation, la gestion était assurée par l'accusée « Irène », « qui était constamment présent physiquement dans l'établissement ».
*NDLR : dans l’article du Code pénal grec « trafic d'êtres humains » implique « transport d'immigrés illégaux ». Une formulation aussi stricte a été créée afin d'effrayer les passeurs impliqués dans le transport de migrants illégaux. Selon cet article du Code pénal grec, pour chaque « client » le transporteur bénéficie d'une peine de 8 à 12 ans. De plus, le terme est résumé, ce qui conduit finalement à des chiffres aussi irréalistes que 800 ans de prison ou plus.
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