L'Iran a tiré plus de 180 missiles balistiques sur Israël. La plupart d'entre eux furent abattus.
L'armée israélienne affirme que l'Iran avait l'intention de « tuer des milliers » de civils. Dans la soirée du 1er octobre, l’Iran a soumis Israël à sa deuxième attaque massive en six mois, tirant plus de 180 missiles balistiques sur son territoire. La plupart d’entre eux, selon le porte-parole de Tsahal Daniel Hagari, ont été abattus par Israël et la coalition de défense dirigée par les États-Unis.
À la suite de l'attaque iranienne, selon les dernières données, décédé (vidéo) une personne dans la région de la ville de Jéricho en Cisjordanie. Deux autres personnes ont été légèrement blessées par des éclats d'obus à Tel Aviv, écrit le Times of Israel.
Le CGRI affirme que 90 % des missiles ont touché des cibles en Israël. Le Corps des Gardiens de la révolution islamique d'Iran cite parmi ces cibles, en particulier, les bases aériennes, les stations radar, ainsi que les services de sécurité qui ont planifié les assassinats de hauts responsables des groupes islamistes radicaux Hamas et Hezbollah. Selon le CGRI, l'attaque massive de missiles contre Israël est une réponse à l'assassinat du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah et du chef du mouvement islamiste radical Hamas, Ismail Haniyeh.
Pendant ce temps, Israël a lancé de nouvelles attaques contre des cibles du Hezbollah à Beyrouth :
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