À Thessaloniki, le tribunal a délivré Les premières décisions en vertu de la nouvelle loi sur la migrationfournissant Conditions de prison réelles pour les étrangersillégalement en Grèce.
Deux citoyens de la Turquie ont reçu 2 ans de prison Et une amende par 5 000 euros À tout le monde. Le troisième accusé, également un Turcs de 19 ans, a été reconnu coupable de 10 mois, en tenant compte des circonstances atténuantes du «jeune âge».
La loi resserre la punition
La caractéristique clé des nouvelles normes est cette punition pour le séjour illégal maintenant ne sont pas soumis au remplacement ou à la suspension. Une exception n’est possible que si le condamné accepte de retourner volontairement dans sa patrie. Le tribunal a invité trois détenus à utiliser cette option. Deux ont refusé, disant qu’ils sont arrivés en Grèce seulement trois jours avant l’arrestation et voulaient soumettre une pétition pour la fourniture d’asile politique à Athènes. Le troisième, âgé de 19 ans, après avoir pensé, a accepté l’expulsion et sera tenu jusqu’à l’envoi de la frontière.
Les circonstances des affaires
Deux détenus seniors ont expliqué qu’ils avaient quitté la Turquie motifs politiques Et ils espéraient organiser un refuge en Grèce. Le jeune homme a dit qu’il était dans le pays il y a environ une semaine parce que circonstances familiales Et il a même réussi à prendre rendez-vous avec le service pertinent, mais a été détenu avant de postuler.
Critique et préoccupation
De nouvelles normes ont déjà provoqué une résonance. Amnesty International Elle a qualifié les dispositions sur les dates de la prison et le refus de remplacer les peines par une «violation flagrante du droit international», indiquant qu’ils punissent réellement les gens pour avoir tenté de demander une protection.
Un un Elle a également exprimé son inquiétude: l’organisation a rappelé que le droit à l’asile est consacré dans les traités internationaux, et que la suspension des procédures ou des peines de masse peut entraîner des conséquences humanitaires.
En Grèce, les associations d’avocats expriment des critiques, appelant un certain nombre de normes «inconstitutionnelles» et sapant les garanties fondamentales des droits de l’homme. Partis de gauche de l’opposition Le Parlement estime que les sanctions criminelles ne résoudront pas le problème de la migration illégale, mais ne le conduiront que dans des formes plus dangereuses.
Le gouvernement, à son tour, affirme que le resserrement est nécessaire pour «restreindre le flux chaotique des migrants» et protéger les frontières UE.
More Stories
L’Allemagne a proposé de l’argent aux Afghans pour qu’ils ne viennent pas : les réfugiés sont furieux
La Commission européenne alloue 103 millions d’euros supplémentaires à la Grèce pour les migrants
Dr Mordechai Kedar : « La prise de contrôle de l’Europe par les Frères musulmans est presque terminée »