La composition nationale du centre d’Athènes a considérablement changé ces dernières années, maintenant près de la moitié de ses habitants appartiennent à des immigrants d’autres pays.
Dans celle d’hier débats de dirigeants politiques la question de la démographie aurait dû être posée pour donner des réponses claires à ce que les partis entendent faire dans la situation difficile actuelle. Cependant, les politiques ont tenté d’éviter ces questions, car ce sujet est trop sensible, et personne ne semble prêt à l’aborder. Tout le monde évite assidûment de le toucher pendant la période pré-électorale, comme s’il était considéré comme un perdant.
Selon un rapport de la police grecque, aujourd’hui 25% des habitants de la ville d’Athènes sont des étrangers, légaux et illégaux. Dans certains quartiers, comme Patisia, Agios Panteleimon, Agios Pavlos, Victoria Square et d’autres proches du centre-ville, les changements se produisent si rapidement que ce n’est qu’une question de temps avant que les étrangers ne deviennent la majorité de la population. Cela signifie qu’il y aura moins de Grecs de souche que d’étrangers.
Le pourcentage d’étrangers dans ces zones atteint 45-49%, et il est fort possible que les chiffres réels soient déjà sensiblement plus élevés. En effet, des ghettos se sont déjà créés au centre d’Athènes, habités par des immigrés d’Afrique et d’Asie.
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