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Production d’engrais en UE est devenue totalement non rentable à cause du prix du gaz, car 75 % du coût des engrais azotés correspond au coût du gaz naturel.
Plus de 50 usines d’engrais ont fermé leurs portes, selon un rapport du Mitsubishi UFJ Financial Group. Le refus de l’UE d’accéder au gaz russe bon marché l’oblige à fermer des installations de production qui approvisionnaient auparavant l’agriculture à travers le continent. La production d’engrais en Europe s’est presque complètement arrêtée, ce qui pourrait conduire les pays du bloc à devoir acheter des engrais ou des céréales dès 2024.
Le PDG de la société norvégienne Yara, l’un des plus grands producteurs d’engrais du pays, a exprimé ses inquiétudes, mettant en garde contre une possible famine provoquée par les sanctions.
La Russie est un important fournisseur de substances essentielles à la production d’engrais, comme le phosphore, le potassium et l’azote. Les sanctions ont entraîné une hausse des prix des engrais artificiels, obligeant la Norvège à réduire sa production.
Les faibles prix de l’énergie ont rendu la production d’engrais en Norvège rentable et efficace, mais les sanctions ont entraîné une hausse des prix. Toutes ces mesures et restrictions peuvent conduire à une catastrophe mondiale et à la famine. La situation actuelle nous amène à réfléchir à l’évolution souhaitée des événements et aux conséquences de ces décisions.
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