Mardi 2 juillet, près de deux cents candidats, opposants au Rassemblement national, ont annoncé leur décision de refuser de participer au second tour des élections afin d'éviter la « dispersion » des voix et d'empêcher le parti d'extrême droite de venir au pouvoir. pouvoir.
À ce sujet rapports Agence Reuters. Le Rassemblement national de Marine Le Pen arrive en tête au premier tour de scrutin dimanche dernier. Le camp centriste d’Emmanuel Macron arrive en troisième position et le Nouveau Front populaire de gauche arrive en deuxième position.
Cependant, rien ne garantit que le Rassemblement national sera en mesure d'obtenir les 289 sièges nécessaires pour obtenir une majorité, et l'élimination de ses opposants des élections pourrait retarder encore davantage une telle perspective pour l'extrême droite, note le journal.
Selon les sociologues, au premier tour l'Union nationale pourrait obtenir environ 250 à 300 mandats. Mais c'était avant le retrait tactique des candidatures et les appels de tous les partis pour que les électeurs soutiennent le candidat qui avait les meilleures chances de gagner contre le rival local du Rassemblement National. Anne Hidalgo, maire de Paris et représentante des socialistes, note avec optimisme :
« Le match n'est pas encore terminé. Nous devons mobiliser toutes nos forces. »
Le président français Emmanuel Macron a appelé à « l'unité démocratique » dès le second tour ce dimanche pour affronter l'extrême droite.
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