L'évêque de l'Église orthodoxe grecque, le métropolite Chrysostome de Patras, commentant la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques, a déclaré : « on ne peut que pleurer en voyant cet effondrement spirituel et cette insulte aux valeurs culturelles et au christianisme à travers la moquerie de la Cène ».
Selon lui, malheureusement notre époque est caractérisée par le déni du Christ, et la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de 2024 le confirme. « Quel rapport une telle cérémonie peut-elle avoir avec l’esprit olympique et les valeurs qu’il exprime et représente. Cette cérémonie était une insulte à la culture et aux valeurs. On ne peut qu’être triste de voir cet effondrement spirituel et cette insulte aux valeurs culturelles et au christianisme à travers la moquerie de la Dernière Cène. Le christianisme a donné un sens à l'existence en Europe. Les racines de l’Europe sont chrétiennes », a déclaré le métropolite Chrysostome.
Selon lui, « tout ce qui s'est passé en France lors de cette cérémonie est une insulte à la mère des Jeux Olympiques, notre patrie, la Grèce ».
Auparavant, le primat de l'Église grecque, archevêque d'Athènes et de toute la Grèce, Jérôme, avait critiqué l'ouverture des Jeux olympiques, affirmant que « tout cela est digne d'un mépris absolu ».
L'évêque de l'Église orthodoxe grecque, le métropolite Chrysostome III de Mania, a exprimé son mécontentement à l'égard de l'ambassadeur de France face aux scènes antichrétiennes blasphématoires lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris.
Les organisateurs ont été accusés de blasphème à Fanari. Le chef du Patriarcat de Constantinople, Bartholomée, a critiqué l'ouverture des Jeux olympiques avec une parodie de la « Dernière Cène » du Christ et des douze apôtres, et a qualifié ces performances de « non seulement contre le christianisme et le Saint Évangile, mais aussi contre tout personne civilisée qui reconnaît le droit de croire et de respecter les symboles religieux », rapporte la publication. fosfanariou.gr.
« Ces images non seulement n’ont pas décoré la cérémonie, mais l’ont aussi assombri. Le blasphème n’est pas un progrès et ce n’est pas un droit d’insulter les croyances religieuses de nos semblables. Nous espérons que l’expression spontanée de dégoût et de désapprobation de la part du monde a envoyé un signal suffisamment fort aux décideurs pour qu’ils soient une source d’espoir et qu’ils évitent des actions similaires à l’avenir », a écrit le patriarche Bartholomée.
Ses paroles lors d'un sermon dominical ont été publiées par le site grec Rompheus.
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