Deux sœurs, réfugiées « politiques » d'Irak, ont battu une autre femme lors d'une fête et l'ont agressée sexuellement avec un objet contondant. L’une des sœurs avait déjà été reconnue coupable de blanchiment d’argent et de vol.
Pour la première fois dans l'histoire de la Suède, deux femmes sont poursuivies pour viol collectif.
Les deux sœurs irako-suédoises ont battu une autre femme lors d'une fête et l'ont pénétrée avec un objet contondant.
L'une des sœurs a déjà été condamnée pour blanchiment d'argent et vol. pic.twitter.com/MtIpXEhF24
– Visegrad 24 (@visegrad24) 5 septembre 2024
La Suède est frappée par une vague de meurtres ; la police appelle l'armée à l'aide.
L'armée suédoise aidera la police dans la lutte contre la criminalité armée, a déclaré le Premier ministre Ulf Kristersson. Le Premier ministre suédois a annoncé ces mesures dans un contexte de forte augmentation des attaques utilisant des armes à feu et des engins explosifs. « Je ne peux m’empêcher de reconnaître la gravité de la situation. La Suède n’avait jamais rien vu de pareil auparavant. Aucun autre pays d’Europe ne connaît une telle situation à l’heure actuelle », a déclaré le Premier ministre Kristersson.
Kristersson dirige un gouvernement de centre droit qui ne dispose pas de majorité au Parlement. Il est arrivé au pouvoir l'année dernière avec le soutien du Parti démocrate suédois anti-immigrés, mais n'a pas réussi à lutter contre la criminalité, l'un des principaux problèmes du pays et qui suscite particulièrement la colère des électeurs.
Le Premier ministre a expliqué que le gouvernement demandera à l'armée d'aider la police « dans les cas où les compétences particulières des forces armées peuvent être utiles » (opérations militaires ?).
Un rapport officiel du gouvernement publié en 2021 révèle que les fusillades tuent chaque année quatre personnes sur un million en Suède, contre une moyenne de 1,6 par million en Europe.
La police relie la violence à la mauvaise intégration des immigrés, à l'écart grandissant entre riches et pauvres et à la consommation de drogues.
Environ un jeune sur six à Stockholm appartient à un gang, selon une étude sociologique
Les jeunes impliqués dans des gangs étaient plus susceptibles de commettre des crimes contre les biens, des crimes violents et du trafic de drogue. Il y avait également « nettement plus » de jeunes dans la capitale suédoise qui avaient des amis proches appartenant à des gangs (16%) qu'à Helsinki (9%) ou à Turku en Finlande (8%). La seule ville scandinave étudiée qui ne se démarque pas dans le contexte de Stockholm « criminogène » est une autre ville suédoise, Gävle (12 %).
« Il existe donc des bandes de jeunes dans toutes les villes étudiées d’Europe du Nord. Cependant, Stockholm se trouve dans une position particulière.» – états Markus Kaakinenchercheur à l'Institut de criminologie et de politique juridique, Université d'Helsinki.
Plus de 9 000 jeunes âgés de 13 à 17 ans originaires du Danemark, de Finlande, d'Islande, de Norvège et de Suède ont participé aux groupes d'étude.
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