septembre 20, 2024

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ΠΟΕΔΗΝ à propos de l'attaque d'une ambulance par des Roms à Mesolonghi : "Ils provoquent constamment nos employés"


Le président du PDEDIN, Michalis Giannakos, condamne dans un communiqué l'incident au cours duquel des gitans attaqués à l'équipe d'ambulance de l'hôpital général de Mesolonghi.

Selon lui, les Roms provoquent constamment des incidents dans les établissements médicaux, sans se soucier des conséquences.

« A quelques mètres de l'hôpital de Mesolonghi se trouve un camp de gitans. Tous les trois jours, les gitans amènent à l’hôpital un patient, généralement alcoolique ou toxicomane, et aux urgences, sans aucune raison, ils battent tout employé qui se trouve devant eux, exigeant qu’on les vienne en urgence. » a déclaré dans un communiqué publié.

Le président du PDEDIN estime que dans les hôpitaux où se produisent souvent des violences, il devrait toujours y avoir des policiers qui patrouillent dans les rues environnantes et agissent comme moyen de dissuasion, soulignant que dans de tels cas, des lois plus strictes n'aident pas.

« Plus de 50 % des cas de passage à tabac de collègues dans des établissements médicaux surviennent parmi les Roms. Comment ce problème est-il résolu ? Patrouilles de police constantes à proximité des hôpitaux, centres médicaux et autres établissements médicaux. Forte sécurité des hôpitaux par des agents de sécurité embauchés par les hôpitaux eux-mêmes. Actuellement, la sécurité ne répond pas aux normes en raison du manque de fonds. » souligne-t-il.

« Intervention et dialogue continus avec les dirigeants des communautés roms afin qu'ils cessent d'attaquer le personnel hospitalier et de perturber leur travail. Il n’est pas nécessaire que cinquante personnes accompagnent le patient et battent tous ceux qu’il voit.

En conclusion, le Président ΠΟΕΔΗΝ note qu'un incident similaire, au cours duquel un secouriste a été battu et blessé beaucoup plus gravement, s'est produit récemment à l'hôpital de Corinthe.

« Les gitans battent constamment le personnel, créent le chaos aux urgences, ils sortent des kalachnikovs, menacent le personnel médical, et… rien. Que devons-nous traverser d'autre ? Il est à noter que les sauveteurs, malgré la confusion, malgré les coups, ont continué leur travail. Tout comme leurs collègues du service des urgences de l’hôpital de Mesolonghi. Bravo, que puis-je dire d'autre ? » conclut Giannakos.

Que puis-je ajouter d'autre à ce qu'a dit le président du syndicat médical grec… Peut-être la direction politique du pays ça vaut le coup d'y penser sur la situation des Roms en Grèce. Après tout, la situation dans laquelle le gouvernement a retiré le droit à la violence à une partie de la population, au profit d’une autre partie de la société, constitue un dangereux précédent.



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