mai 6, 2024

Athens News

Nouvelles en français de Grèce

Erdogan a « promu » le ministre américain des Affaires étrangères A. Blinken


Le secrétaire d’État américain Antony Blinken s’est rendu dans quatre pays en une journée pour rencontrer le président turc R.T. Erdogan, mais il l’a « promu » en partant « se reposer » dans sa région d’origine, Rizunda dans le Pont, et l’Américain ne rencontrera que son collègue « le meilleur », Hakan Fidan, commandant du MIT depuis de nombreuses années !

Même si les Turcs ont d’abord répondu à la demande de rendez-vous du Département d’État : « Il examinera son emploi du temps et verra si le président peut vous accommoder », Blinken a été informé ce soir qu’Erdogan était parti… pour son village !

Il est caractéristique qu’à l’aéroport d’Ankara le secrétaire d’État américain ait été accueilli uniquement par l’ambassadeur américain Jeff Flake et… un petit employé du ministère turc des Affaires étrangères, directeur général du ministère turc des Affaires étrangères, responsable des relations politiques bilatérales avec les États-Unis. États, Yaprak Balkan.

Comment cela se compare-t-il à l’époque où, lors de sa visite en Grèce, la moitié du cabinet des ministres l’attendait à l’aéroport El. Venizelos…

Bien sûr, malheureusement pour la Grèce, les États-Unis semblent s’être résignés à leur « sort » dans leurs relations avec la Turquie : R.T. Erdogan « battra du tambourin » et ils « danseront ». La semaine dernière, les négociations techniques entre la Turquie et les États-Unis sur la livraison de 40 nouveaux chasseurs F-16 Viper et la modernisation de 79 F-16 supplémentaires en Turquie se sont achevées !

Et même des sources du ministère turc de la Défense déclarent avec un sourire: « Nous exprimons une fois de plus notre position non négociable selon laquelle cette question ne devrait être soumise à aucune condition ».

Comment R.T. Erdogan ne peut-il pas devenir le leader du monde islamique lorsque les États-Unis eux-mêmes sont « à ses pieds » ?

Sans parler de son soutien à l’organisation terroriste Hamas, selon les États-Unis, et de ses déclarations sur son principal allié Israël selon lesquelles « Netanyahu n’est plus un interlocuteur pour la Turquie. Nous l’avons écarté », comme le dit R.T. Erdogan, rappelant l’ambassadeur d’Ankara de Tel Aviv.

Mais leurs objectifs sont différents : Ankara donne la priorité à un cessez-le-feu immédiat, tandis que Washington semble attendre la fin de l’opération militaire meurtrière d’Israël à Gaza et supporter humblement les « brimades » d’Erdogan concernant l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’OTAN.



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