Le Premier ministre Mitsotakis continue d’« améliorer » les relations gréco-russes, en prononçant des propos qu’aucun autre dirigeant du pays UE n’a pas encore osé le dire à V. Poutine, à l’occasion de la crise cardiaque et de la mort d’Alexeï Navalny, détenu dans les prisons russes.
Il a notamment déclaré : « Alexeï Navalny s’est battu farouchement pour la démocratie et a résisté à un régime autoritaire brutal. Un régime qui a fait en sorte que Navalny paie son courage, d’abord par la liberté et maintenant par sa vie. Nos pensées vont à sa famille. Son courage ne sera pas oublié. «
Alexei Navalny fought fiercely for democracy and stood up to a brutal, authoritarian regime. A regime that made sure Navalny paid for his bravery first with his freedom, and now with his life. Our thoughts are with his family. His courage will not be forgotten.
— Prime Minister GR (@PrimeministerGR) February 16, 2024
Et après? Une nouvelle détérioration des relations avec la Russie et, bien sûr, ceux qui ont applaudi Mitsotakis aujourd’hui à la conférence de Munich seront très heureux, car il a dit ce qu’ils ne risquaient pas de dire. On ignore encore combien coûtera à la Grèce cet acte personnel de Mitsotakis.
ΤΩΡΑ
Ζελένσκι για τον θάνατο Ναβάλνι:
Ο Πούτιν σκότωσε τον Ναβάλνι pic.twitter.com/Mq8uTk060V
— RealPolitik (@machiavelli_gr) February 16, 2024
Il est caractéristique que seul V. Zelensky soit plus dur que Mitsotakis.
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