50 % des gens souffrent du syndrome métabolique sans même savoir de quoi il s’agit

Le Centre FGA mène une importante et vaste enquête par questionnaire sur la manière dont les modes de vie modernes affectent la santé humaine.

Cette étude s'adresse aux participants de plus de 18 ans qui remplissent un questionnaire de manière anonyme. Parmi les participants actuels, 52 % sont des hommes et 48 % des femmes, appartenant à différents groupes d'âge. Les premiers résultats indiquent la prévalence du « fléau de notre temps » : le syndrome métabolique (MetS).

Mais qu’est-ce que le syndrome métabolique et qui affecte-t-il ? Cela s'applique généralement aux personnes ayant un tour de taille important ou un poids corporel accru (augmentation de l'indice de masse corporelle, IMC) et un mode de vie sédentaire, ainsi qu'une alimentation irrégulière et généralement déséquilibrée.

Le syndrome métabolique n'est pas une maladie, mais une combinaison de facteurs qui augmentent le risque de développer des maladies.

Les chiffres suivants révélés par l'étude sont un indicateur de l'incapacité de comprendre si quelqu'un a ce problème :

• 83,33% des personnes interrogées déclarent ne pas souffrir du syndrome métabolique,
• 48% ont admis qu'un tel problème existe,
• 55,88% des participants ont noté une légère prise de poids,
• 57,42 % – perte de poids difficile (incapacité de perdre du poids même si vous faites des efforts pour y parvenir).

Concernant un autre facteur de risque, le manque d'activité physique, 47% des Grecs interrogés ne font pas d'exercice du tout, et 46% en font peu (de 1 à trois fois par semaine).

L’étiologie exacte du syndrome métabolique n’est pas encore entièrement comprise. Plusieurs études ont rapporté de fortes associations entre le MetS et la résistance à l'insuline, le stress oxydatif et le rôle des adipocytes adipeux blancs (WAT), la microinflammation chronique, l'obésité et le microbiome intestinal.

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