La porte-parole du gouvernement français Prisca Thévenot, députée française et membre du parti Renaissance du président Emmanuel Macron, a été agressée par plusieurs personnes mercredi soir 3 juillet.
Comment rapports Politico, elle et son équipe étaient en train de poser des affiches électorales dans leur circonscription des Hauts-de-Seine, à l'ouest de Paris, lorsqu'ils ont été agressés par un groupe d'individus. Thévenot n'a pas été blessée, mais un membre de son équipe a été transporté à l'hôpital avec une mâchoire cassée. Quatre personnes ont été arrêtées. Gabriel Attal, Premier ministre français, a condamné l'attaque et a appelé à la fin de la violence politique :
» Ce soir, la candidate Prisca Thévenot et des membres de son équipe de campagne ont été agressés par quatre hommes à Meudon alors qu'ils posaient des affiches de campagne. La violence et l'intimidation n'ont pas leur place dans notre démocratie. Elles n'ont pas leur place dans notre République. Rejetons le climat de violence. et la haine qui prend de l'ampleur. J'appelle à une action immédiate. »
Le président du Rassemblement national d'extrême droite, Jordan Bardella, a promis un « plein soutien » à Thévenot.
Attal estime qu'une tentative multipartite visant à priver le Rassemblement national d'extrême droite de sa majorité au deuxième tour des élections législatives de dimanche pourrait aboutir. Le président Macron a appelé à « l’unité démocratique » dès le second tour pour contrer l’extrême droite.
Comme le rapportait notre publication, mardi 2 juillet, plus de deux cents candidats, opposants au Rassemblement national, ont annoncé leur décision. refuser de participer au second tour des élections, afin d’éviter la « dispersion » des voix et empêcher le parti d’extrême droite d’accéder au pouvoir.
More Stories
Corvette "Hetman Ivan Mazepa" subir des essais en mer (état) en mer (vidéo)
Poutine-Orban : les négociations entre les deux dirigeants à Moscou se sont terminées en deux heures et demie – une réaction houleuse de l’UE
Visite de V. Orban à Moscou : « Nous faisons un pas de plus vers la paix »