Des prix en hausse pour "doux" Et "salé"

Au bord de l’appauvrissement total se trouvent les consommateurs qui doivent survivre et « lutter » contre des prix et des coûts en hausse constante. Malheureusement, même s’ils achètent moins de produits, ils paient quand même plus.

Le prix des chips et du chocolat a augmenté de 50 %. Les gourmandises du quotidien comme un sachet de chips ou une barre de chocolat laissent un goût amer dans la bouche des consommateurs puisque les prix ont augmenté de 51 % au cours de la dernière année et demie. Les collations/snacks se classent au troisième rang des biens de consommation avec les plus fortes augmentations de prix en 2023, soit 8 %.

Les fèves de cacao sont également les « champions » de la valeur croissante. Et cela signifie que Le chocolat de Pâques cette année sera « amer ». A noter que le prix d'une tablette de chocolat de 38 grammes est passé de 0,35 euro à 0,47 euro en juin 2022, et que le prix au kilo a dépassé les 12 euros, ce qui équivaut au prix d'un kilo de bœuf !

Dans le même temps, le chocolat de marque se vend à 1,58 €, contre 1,18 € il y a environ un an et demi, soit une hausse de 33,9 %. En effet, son prix atteint 15 euros le kilogramme, ce qui fait du chocolat un article de luxe. Une forte augmentation des prix est également observée pour les biscuits : un classique fourré au chocolat à l'été 2022 coûtait 1,30 euro (paquet de 200 grammes) au lieu de 0,95 euro, et le prix des crackers a augmenté de 0,25 euro au lieu de 0,75 euro, soit est devenu 1 euro. .

Si l'on prend les prix de la plus grande chaîne de supermarchés, la plus forte hausse des prix (51%) est observée pour le pop-corn : un sachet de 81 grammes est désormais vendu 1,48 euro, contre 0,98 euro en juin 2022.

Ainsi, l'augmentation du prix des chips (conditionnées en 150 grammes) au cours des 1,5 dernières années a atteint 44 %, tandis que leur prix est passé de 1,35 euro à 1,95 euro. Dans le même temps, le prix au kilo oscille autour de 13 euros, soit le prix que paient les ménages pour 1 kilo de feta qui, bien qu'aliment de base sur leur table, leur semble trop cher et ils se tournent vers des fromages « blancs » moins chers.

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